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liberalisme
C'est une inquiétude convenue. Et qui ne date pas d'hier ! Mais que tout le monde ne partage pas. Explication en quelques minutes.
Ah, la belle utopie ! La voilà, la nation start-up… Une opération de financement participatif a été lancée afin de la faire émerger au large des côtes espagnoles. Affaire à suivre.
De la politique naturelle à l'ordre spontané : « L'homme est devenu intelligent parce qu'il y avait pour lui une tradition – celle qui se tient entre l'instinct et la raison – pour apprendre. »
Le libéralisme attaqué de front : « Le repos dominical est devenu un droit subjectif, susceptible, comme tel, de faire l'objet d'une renonciation par son titulaire. Il faut expliquer sans relâche qu'il ne doit pas être cela. »
Jérôme Perrier : « La société de mobilité et d'égalité des chances qu'entend promouvoir Emmanuel Macron s'inscrit pleinement dans un courant parfaitement identifiable pour l'historien des idées politiques. »
Le gouvernement local semble intéressé par ce projet. Mais ses promoteurs versent dans l'utopie. Leur objectif ? « Préserver l'environnement, enrichir les pauvres, guérir les maladies et libérer l'humanité des politiciens. »
Cet article est rédigé sur un ton malveillant. Mais il souligne que le nouvel occupant de la Maison-Blanche ne renie pas tous ses engagements de campagne. Cela à la faveur d'une sorte d'artifice juridique.
Regards croisés : les réponses de Jacques Garello, Gaspard Koenig et Jérôme Perrier publiées par Contrepoints.
Jérôme Perrier : « Il ne faut pas confondre la rhétorique souverainiste de politiciens bombant le torse et la capacité d'influence réelle d'un État. » Assurément ! Mais pourquoi l'UE serait-elle le seul levier à disposition ?
Une "lettre ouverte" sans surprise. Un rappel au passage : « La politique est une affaire de marketing et il faut être d'une naïveté confondante pour y voir l'expression des convictions sincères des candidats. »
Lu sur Contrepoints : « Ghost in the Shell pose […] des questions profondément libérales quant à la nature de l’évolution technique. »
Expérience menée à Bordeaux : « Une trentaine de croisements routiers ont vu leurs feux disparaître au profit d’aménagements qui augmentent la visibilité et incitent les usagers à être plus responsables. »
La livraison en une heure, proposée par Amazon, indispose le maire de Paris, qui réclame des « garde-fous » législatifs. Cela nous rappelle, encore une fois, la pétition des fabricants de chandelles imaginée jadis par Frédéric Bastiat.
Curieuse tribune signée Gaspard Koenig. Sans doute l'auteur espère-t-il réhabiliter le libéralisme en associant ses détracteurs à un régime honni : pétéinisme rime avec planisme, explique-t-il en substance.
Faut-il établir des cartes et laisser chacun décider en conséquence ? « Une telle solution, radicale, donnerait sans doute aux assureurs un poids considérable dans l’urbanisation des zones potentiellement à risques », souligne Max Falque.
Nathalie MP s'inquiète de voir le Parti libéral démocrate « perdre tout crédit en faisant porter ses idées par une personnalité versatile, capricieuse et indisciplinée, surtout préoccupée de se faire sa place au soleil ».
Vincent Benard, membre du Parti libéral démocrate, expose les raisons de son soutien à l'ancien secrétaire d'État chargé des Sports.
À la différence du Front national, le FPÖ autrichien ne semble pas désireux de jouer avec le feu de l'inflation. À certains égards, il s'inspirerait même de la pensée d'Hayek ! Étonnant. Pour le reste, article sans grand intérêt.
Saluant « son esprit rebelle », Aurélien Véron soutient que Rama Yade « a ouvert les yeux sur la faillite de l'État-providence et l'explosion d'initiatives privées réussies ». Affaire à suivre !
François Crépeau (ONU) : « La seule façon efficace d'éliminer les passeurs illégaux est de s'accaparer leur marché en proposant des solutions de mobilité légales, sûres et bon marché. »
En cause, selon certains républicains : le capitalisme de connivence. Criant à la catastrophe, General Electric (par exemple) aurait annoncé le transfert en France de quatre cents emplois. À suivre !
Certains proposent la mise en vente de visas, d'autres une ouverture sans condition des frontières – laquelle « ne conduirait pas à une explosion des arrivées en Europe ». Pas facile à vendre par les temps qui courent...
L'apologie des discriminations suscite un certain malaise, mais cela donne à réfléchir. « La situation actuelle [...] en matière d'immigration n'a [...] rien à voir avec un quelconque libéralisme », écrit notamment Hans Hermann Hoppe.
« On a interdit, pendant un siècle, aux ouvriers et artisans la possibilité de fonder des associations professionnelles. [...] Peut-être qu'au lieu de supprimer les corporations [...], il eut été plus sage d'abolir leur caractère public. »
« Le marché est un système plus libre, plus juste et plus efficace que la démocratie », plaide Baptiste Créteur.
En cause : le paracétamol et les intoxications auxquelles auraient conduit un plus large accès aux comprimés. Un argument pour continuer à tenir les citoyens par la main ?
Il ne s'agirait pas « d'abolir les entraves aux échanges mais d'harmoniser des standards techniques afin de façonner les barrières en fonction des intérêts des acteurs économiques dominants ».
« Le refus angoissé du TTIP n'est que la dernière illustration de cette renonciation au monde. » D'accord, mais peut-être des critiques pertinentes sont-elles noyées dans le flot d'inepties. Cf. l'analyse de Royal Artillerie notamment.
D'un point de vue libéral, «la propriété privée, et son corollaire les relations contractuelles, tracent une limite claire quant à l'usage de la liberté d'expression, au même titre que n'importe quelle autre action humaine ».
L'immigration est-elle une fatalité ? « On peut accompagner ce mouvement et en faire une chance, ou on peut tenter vainement de s'y opposer et créer [...] un problème qui n'existait pas », soutient un contributeur du site Contrepoints.
Regard libéral sur une époque censée faire tache dans l'histoire du capitalisme.
« Tout en récusant l'étiquette libérale, François Fillon pense que "le pays est allé trop loin dans l'encadrement, la protection, les réglementations folles pour répondre à la peur de la mondialisation". ».
Critique libérale des normes prudentielles.
« Pour qu'une stratégie d'obsolescence programmée fonctionne [...] il faut non seulement que les consommateurs remplacent effectivement le produit périmé mais aussi et surtout, qu'ils le remplacent par un produit de la même marque. »
« Vous aurez beau réglementer les banques à hue et à dia, vos lois seront – au mieux – inefficaces tant qu'actionnaires et créanciers n'auront pas la certitude d'être les premiers à payer en cas de problème. »
« Le tenant de l'économie de marché est ici partagé : il aime les droits de propriété mais il déteste les obstacles à la concurrence. Comment trancher ? »
À première vue : une dénonciation convenue des marchés, particulièrement financiers, prétexte à l'apologie d'un volontarisme d'État paré de bons sentiments chrétiens - un discours vraisemblablement stérile, voire contreproductif ?
« Le volontarisme d'État [...] est une extraordinaire machine à gaspiller [...] et à confondre investissements et satisfaction d'impératifs politiques immédiats », soutient Guillaume Nicoulaud.
« Tout mécanisme dont l'effet est d'altérer les capacités dynamiques d'une économie de marché ne peut que rendre la société encore plus vulnérable aux troubles de l'environnement naturel. »
« Le mercantilisme postule que le résultat économique et social sera meilleur si l'État et les entreprises collaborent pour "optimiser" leur action », tandis que le libéralisme prône « une stricte neutralité » de la puissance publique.
Quand une mère et sa fille font du porno en commun, cela met la Toile en émoi...
« L'incitation à consommer à tout prix n'est pas libérale ; elle est keynésienne et donc socio-démocrate », plaide Corentin de Salle.
« Ignorer les forces du marché revient tout simplement à raisonner en l'absence d'êtres humains, comme si nous pouvions être comparés à des branches de bois mort porté par le courant. »
De quoi nuancer l'idée saugrenue selon laquelle le second tour de l'élection présidentielle nous imposerait de choisir « entre deux politiques libérales »...